l'Art c'est Nous

Napoleon Bonaparte , Antoine-Jean-Gros

Michael Putz-Richard, Orphéus

Orphée entouré d'animaux. Mosaïque romaine antique, de Palerme,

Orphé charmant Cerbére, Baccio Bandinelli.

Orphée et Eurydice, Michel Martin Drolling 1820. Musée Magnin, Dijon 

Albert Edelfelt, 1854/1905 autoportrait à 20ans.

I Lottatori, découvert en 1583 près de Porta San Giovanni, Rome.

Copie de Philippe Magnier vers 1684-1687, au Musée du Louvre

Les lutteurs, Jardin Italien du Palais de Blenheim, Oxfordshire, Angleterre

"The Bathers", 1927 by Eric B. George (1881–1961). British artist. 

Justin Liam O'Brien

 "Castor and Pollux" 2022,

I'm Afraid of How This Ends, 2020.

Nicolas-Adolphe Weber, 1842/1907, Musée des Beaux-Arts d'Orléans. (detail)

Qui n'aimerai pas être réveillé par une aussi jolie manecanterie...

Le Sommeil de l'Enfant Jésus, 1525's

Benvenuto Tisi ou Il Garofalo, 1481/ 1559

L'ange de l'Annonciation, 1528

Visiteurs imprévus

Les femmes prétendent que les hommes ne sont pas précautioneux… Le peintre John Koch prouve le contraire, mais il faut reconnaître qu'il est aussi enseignant.

Le peintre des hommes et des chevaux...

Si la nudité de St-Jean est souvent couverte d'une peau, les représentations nues avec un sexe apparent sont particulièrement rare.

Ici Domenico Veneziano figure St-Jean changeant ses riches vêtements pour un manteau rugueux en poils de chameau.

Dans un paysage aux caractéristiques artistiques de l'ère gothique haute de la fin du Moyen Âge, Domenico peint une silhouette jeune, d'apparence clairement classique, au type grec, mais expose le prêcheur avec le halo doré du saint au-dessus de sa tête.

Si la nudité de St-Jean est souvent couverte d'une peau, les représentations nues avec un sexe apparent sont particulièrement rare.

Ici Domenico Veneziano figure St-Jean changeant ses riches vêtements pour un manteau rugueux en poils de chameau.

Dans un paysage aux caractéristiques artistiques de l'ère gothique haute de la fin du Moyen Âge, Domenico peint une silhouette jeune, d'apparence clairement classique, au type grec, mais expose le prêcheur avec le halo doré du saint au-dessus de sa tête.

Les Poulbots, de la rue d'Aubervilliers, 1940, l'emblématique photo du dernier photographe encore en activité à avoir traversé le 20ème siècle, Louis Stettner est né à Brooklyn, en novembre 1922.

Noël 1951, Ile Saint-Louis, Paris

1951, Restaurant Pierre,

Dès les années 30 il s’intéresse à la photographie, étudiant à la Photo League de New York avant de rejoindre Paris en 1946. 

« A l’origine, j’étais venu à Paris pour quelques jours seulement. C’était à la fin de l’année 1946. Paris était l’un des foyers des arts et de la créativité. Je m’y suis tellement plu que j’ai décidé d’y rester. Paris se relevait à peine de la guerre, la ville était sombre, le sourire des gens encore timide. Il y avait d’ailleurs peu de monde dans les rues, et pas une automobile. »

Avenue de Chatillon, Paris - 1947

Rue d’Alésia, Paris 1949

Au sortir de la guerre, Paris est une source d’inspiration pour le jeune américain, qui y fait une première série dont le style n’est pas sans rappeller Eugène Atget, montrant des rues vides tristes, grises et sans vie.
 

Marchande de journaux, Paris 1951

L

rue des Martyrs Paris 1951

Anne Louis Girodet-Trioson, 1790/93
Dessins pour l'édition en 1798 du livre onze de l'Énéide de Virgile.
Les quatre personnages représentent la jeunesse, la maturité, la vieillesse et la mort.

Tandis qu'Énée réconforte son fils Ascagne au premier plan, L'aîné Acoetës,homme âgé qui était l'ancien écuyer d'Evander pére de Pallas, pleure son cadavre.

Pour prêter main-forte à Énée affrontant une coalition liguée contre lui, Pallas, jeune et beau guerrier de 18ans est tué par Turnus. Le récit de sa mort et de ses funérailles constituent deux tableaux parmi les plus pathétiques de l’Énéide.
Sous l'image, en latin, est inscrite la lamentation d'Énée,
"Alas ! Quelle grande protection est perdue pour toi, Ausonia [Italie], et quelle perte pour toi, Ascagne !"

Merci a Al qui me permet de rendre à Pallas, ce que j'avais attribué a Hector.

Sébastien Norblin de La Gourdaine,1796/1884,Gand Prix de Rome en 1825. Élève de Regnault et Blondel. 

Cyparisse aime et soigne un cerf merveilleux, consacré aux Muses. Un jour de chaleur où le cerf est caché sous l'ombre d'un buisson, il lance son javelot et le tue. Inconsolable, il obtient qu'Apollon le change en cyprès, arbre funéraire. Premier envoi de Rome, exposé au Salon de 1826. Donné par l'artiste en 1882.

Portrait d'un jeune homme

Egorov Aleksei Egorovich, Russe 1776/1851.
Au début du XIXème siècle il est rare de voir un portrait de jeune homme au col largement ouvert...
Alors qu'il était professeur à l'Académie impériale des arts, il peint en 1812 un portrait de son élève Vasiliy Sukhanov, ce qui explique cette tenue allongée.

À la confusion provoquée par l’image de l’IA, la réalité nous semble fade…

alors au virtuel insaisissable je préfère une chaire qui palpite sous mes doigts…